Guest guest Posted September 1, 2012 Report Share Posted September 1, 2012 Professor Séralini was a breath of intelligence amongst people with either no knowledge or more likely paid by Monsanto although if Professor Sir Doll is an example there is no way of finding the financial links short of an inernational enquiry. One of the other speakers talked of GMO as a negligible alteration of the DNA implying that virtually no difference will be in the food product. This is clearly RUBBISH when we have evidence of animals in serious health problems just two days into a GMO diet but NOT if kept on non GMO food. He is clearly portraying an image of GMO which is INCORRECT and causing people to assume it is a BENIGN technology. We already have 1 per cent of this altered DNA invading ORGANIC FOODS. It is perfectly possible to ALTER DNA safely and it has been done for millions of years. BUT the thousands of GODS in universities and government passing new life as substantially equivalent are showing that support for many GODS is as INSANE as it ever was. Professor Seralini NEVEr got a chance to put his arguments in peace and the CYNICISM of the others was shown in their NERVOUS STUPID and INCESSANT laughter. Do they laugh at a million OBESE now in Germany? Do they laugh at animals dying from GMO diets with destroyed guts and bleeding to death? Do they laugh at their SUBSTANTIAL EQUIVALENCE equating each of them with the ALMIGHTY GOD? http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume & id_rubrique=1508 C Dans L'Air par Yves Calvi du lundi au vendredi lundi 16 août 2010 Steack cloné et frites OGM Alors que la commercialisation de " viande clonée " provoque l’inquiétude en Grande-Bretagne, la décision de la France d’autoriser des semences transgéniques relance le débat sur les OGM. Des positions de Bruxelles aux critiques des écologistes, " C dans l’air " fait le point. La controverse entre pro et anti-OGM se durcit en France. Quelques semaines après la décision du gouvernement, en juillet, d’autoriser la commercialisation pour dix ans de trente-huit variétés de semences de maïs transgéniques, et ce, en dépit de la suspension des cultures génétiquement modifiée sur le territoire depuis 2008, une opération d’arrachage soulève un tollé. Soixante-dix pieds de vignes transgéniques ont ainsi été saccagés, dimanche 15 août 2010 vers 5 h du matin, par une soixantaine de militants opposés aux Organismes Génétiquement Modifiés (OGM). Il s’agissait d’un champ expérimental de l’Institut national de la recherche agronomique, situé à Colmar, dans le Haut-Rhin. Malgré les clôtures et le signal d’alarme, les faucheurs ont eu le temps d’achever leur travail de destruction avant d’être appréhendés, sans aucune résistance, par les gendarmes et les policiers. Une action qui a suscité indignation et condamnation au plus haut niveau de l’Etat. Dans un communiqué commun, les ministres de l’Ecologie, de la Recherche et de l’Agriculture se disent " choqués de cet acte de dégradation scandaleux contre un essai exemplaire " . " Ces recherches ne représentaient aucun risque, ni pour la sécurité sanitaire ni environnementale " , assurent-ils, et étaient destinées à mieux comprendre le système immunitaire de la vigne, et notamment contre le virus du " court-noué " qui touche les cedps dans le monde entier et pour lequel il n’existe à ce jour aucun traitement. Le président de l’unité de Colmar de l’INRA, Masson, excédé par cette opération qui frappe un site déjà touché de la même façon en 2009, a annoncé son intention de porter plainte. " On travaille pour le public, on travaille pour les enfants, on travaille pour les étudiants, pour la connaissance scientifique dans un établissement public " , a-t-il lancé au micro de France Info. Ajoutant : " Il n’y a aucune intention de commercialisation : c’est juste de la recherche pure, libre, avec vos impôts, que ces malades viennent détruire. C’est sept ans de travail foutus en l’air " , a-t-il affirmé. Pour leur défense, les militants mettent en avant la dangerosité et l’inutilité de ces essais. Dans un communiqué, ils expliquent que les " champs d’expérimentation d’OGM sont le premier pas d’une démarche commerciale visant à imposer des cultures actuellement non autorisées, et surtout non plébiscitées, ni par la population ni par les professionnels " . Les Verts d’Alsace - qui apportent leur soutien aux arracheurs - estiment eux que " l’agriculture se trouve aujourd’hui confrontée à un choix stratégique fondamental : continuer dans l’impasse productiviste, en accroissant sa dépendance à l’égard des firmes multinationales de l’agrochimie et de la génétique, ou bien s’appuyer sur le développement des mécanismes naturels biologiques aujourd’hui mal connus au plan scientifique et qui nécessitent un effort absolument prioritaire en termes de recherche publique " . Un débat qui est loin d’être clos. Objet de discorde en France, les OGM sèment également la zizanie dans l’Union européenne. Les Etats membres n’ayant pas réussi à trouver un consensus sur le sujet en juin dernier, la Commission européenne a décidé, le 28 juillet 2010, l’autorisation de six nouveaux maïs OGM, destinés surtout à l’alimentation animale mais également humaine. En mars dernier, elle avait également donné son accord, pour la première fois depuis douze ans, à la culture d’une pomme de terre OGM. Des frites transgéniques dans nos assiettes ? Pas dans l’immédiat. Le tubercule génétiquement modifié, nommé l’amflora, autorisé par Bruxelles est destiné à l’usage industriel, pour son amidon, et à l’alimentation animale. Relayant l’inquiétude des écologistes et des consommateurs européens, le Parlement européen a réclamé un étiquetage spécial pour les aliments issus d’animaux nourris aux OGM. Il s’est également prononcé pour l’interdiction, à titre préventif, de toute commercialisation de viande ou de lait issu d’animaux clonés ou de leur descendance, alors qu’Outre-Manche un fermier écossais a soulevé la polémique en affirmant avoir importé du bétail cloné puis vendu ses produits (viande et lait). Autorisée aux Etat Gilles- Séralini Professeur des universités en biologie moléculaire à Caen et président du conseil scientifique du Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique (Criigen). Spécialiste des OGM et coordinateur du pôle Risques multidisciplinaires du CNRS, Gilles- Séralini est expert, depuis & nbs^ ;1998, auprès du gouvernement français, l’Union européenne, et plus récemment le Canada et l’Inde. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Génétiquement incorrect et Ces OGM qui changent le monde, publiés aux éditions Flammarion en 2003 et 2010. Son prochain livre, intituléNous pouvons nous dépolluer, doit paraître en septembre 2010 chez tte-Lyon. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Recommended Posts
Join the conversation
You are posting as a guest. If you have an account, sign in now to post with your account.
Note: Your post will require moderator approval before it will be visible.