Jump to content
RemedySpot.com

Emission on cloned steaks and genetically altered chips

Rate this topic


Guest guest

Recommended Posts

Professor Séralini was a breath of intelligence amongst people with either no

knowledge or more likely paid by

Monsanto although if Professor Sir Doll is an example there is no way of

finding the financial links

short of an inernational enquiry.

One of the other speakers talked of GMO as a negligible alteration of the DNA

implying that virtually no

difference will be in the food product.

This is clearly RUBBISH when we have evidence of animals in serious health

problems just two days into a GMO

diet but NOT if kept on non GMO food.

He is clearly portraying an image of GMO which is INCORRECT and causing people

to assume it is a BENIGN

technology.

We already have 1 per cent of this altered DNA invading ORGANIC FOODS.

It is perfectly possible to ALTER DNA safely and it has been done for millions

of years.

BUT the thousands of GODS in universities and government passing new life as

substantially equivalent are

showing that support for many GODS is as INSANE as it ever was.

Professor Seralini NEVEr got a chance to put his arguments in peace and the

CYNICISM of the others was shown in

their NERVOUS STUPID and INCESSANT laughter.

Do they laugh at a million OBESE now in Germany?

Do they laugh at animals dying from GMO diets with destroyed guts and bleeding

to death?

Do they laugh at their SUBSTANTIAL EQUIVALENCE equating each of them with the

ALMIGHTY GOD?

http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume & id_rubrique=1508

C Dans L'Air

par Yves Calvi

du lundi au vendredi

lundi 16 août 2010

Steack cloné et frites OGM

Alors que la commercialisation de " viande clonée " provoque l’inquiétude en

Grande-Bretagne, la décision de la

France d’autoriser des semences transgéniques relance le débat sur les

OGM. Des positions de Bruxelles aux

critiques des écologistes, " C dans l’air " fait le point. 

La controverse entre pro et anti-OGM se durcit en France. Quelques semaines

après la décision du gouvernement,

en juillet, d’autoriser la commercialisation pour dix ans de

trente-huit variétés de semences de maïs

transgéniques, et ce, en dépit de la suspension des cultures génétiquement

modifiée sur le territoire

depuis 2008, une opération d’arrachage soulève un tollé. 

Soixante-dix pieds de vignes transgéniques ont ainsi été saccagés, dimanche

15 août 2010 vers 5 h du matin, par

une soixantaine de militants opposés aux Organismes Génétiquement

Modifiés (OGM). Il s’agissait d’un champ

expérimental de l’Institut national de la recherche agronomique, situé à

Colmar, dans le Haut-Rhin. Malgré les

clôtures et le signal d’alarme, les faucheurs ont eu le temps d’achever

leur travail de destruction avant d’être

appréhendés, sans aucune résistance, par les gendarmes et les policiers. 

Une action qui a suscité indignation et condamnation au plus haut niveau de

l’Etat. Dans un communiqué commun,

les ministres de l’Ecologie, de la Recherche et de l’Agriculture se disent

" choqués de cet acte de dégradation

scandaleux contre un essai exemplaire " . " Ces recherches ne représentaient aucun

risque, ni pour la sécurité

sanitaire ni environnementale " , assurent-ils, et étaient destinées à mieux

comprendre le système immunitaire de

la vigne, et notamment contre le virus du " court-noué " qui touche les cedps

dans le monde entier et pour lequel

il n’existe à ce jour aucun traitement. 

Le président de l’unité de Colmar de l’INRA, Masson, excédé par

cette opération qui frappe un site déjà

touché de la même façon en 2009, a annoncé son intention de porter plainte.

" On travaille pour le public, on

travaille pour les enfants, on travaille pour les étudiants, pour la

connaissance scientifique dans un

établissement public " , a-t-il lancé au micro de France Info. Ajoutant : " Il

n’y a aucune intention de

commercialisation : c’est juste de la recherche pure, libre, avec vos

impôts, que ces malades viennent détruire.

C’est sept ans de travail foutus en l’air " , a-t-il affirmé. 

Pour leur défense, les militants mettent en avant la dangerosité et

l’inutilité de ces essais. Dans un

communiqué, ils expliquent que les " champs d’expérimentation d’OGM sont le

premier pas d’une démarche

commerciale visant à imposer des cultures actuellement non autorisées, et

surtout non plébiscitées, ni par la

population ni par les professionnels " . 

Les Verts d’Alsace - qui apportent leur soutien aux arracheurs - estiment eux

que " l’agriculture se trouve

aujourd’hui confrontée à un choix stratégique fondamental : continuer dans

l’impasse productiviste, en

accroissant sa dépendance à l’égard des firmes multinationales de

l’agrochimie et de la génétique, ou bien

s’appuyer sur le développement des mécanismes naturels biologiques

aujourd’hui mal connus au plan scientifique

et qui nécessitent un effort absolument prioritaire en termes de recherche

publique " . 

Un débat qui est loin d’être clos. Objet de discorde en France, les OGM

sèment également la zizanie dans l’Union

européenne. Les Etats membres n’ayant pas réussi à trouver un consensus sur

le sujet en juin dernier, la

Commission européenne a décidé, le 28 juillet 2010, l’autorisation de

six nouveaux maïs OGM, destinés surtout à

l’alimentation animale mais également humaine. En mars dernier, elle avait

également donné son accord, pour la

première fois depuis douze ans, à la culture d’une pomme de terre OGM. 

Des frites transgéniques dans nos assiettes ? Pas dans l’immédiat. Le

tubercule génétiquement modifié, nommé

l’amflora, autorisé par Bruxelles est destiné à l’usage industriel, pour

son amidon, et à l’alimentation

animale. Relayant l’inquiétude des écologistes et des consommateurs

européens, le Parlement européen a réclamé

un étiquetage spécial pour les aliments issus d’animaux nourris aux OGM. Il

s’est également prononcé pour

l’interdiction, à titre préventif, de toute commercialisation de viande ou

de lait issu d’animaux clonés ou de

leur descendance, alors qu’Outre-Manche un fermier écossais a soulevé la

polémique en affirmant avoir importé du

bétail cloné puis vendu ses produits (viande et lait).

Autorisée aux Etat

Gilles- Séralini

Professeur des universités en biologie moléculaire à Caen et président du

conseil scientifique du Comité de

recherche et d’information indépendantes sur le génie

génétique (Criigen).

Spécialiste des OGM et coordinateur du pôle Risques multidisciplinaires du

CNRS, Gilles- Séralini est

expert, depuis & nbs^ ;1998, auprès du gouvernement français, l’Union

européenne, et plus récemment le Canada et

l’Inde. 

Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Génétiquement

incorrect et Ces OGM qui changent le monde, publiés

aux éditions Flammarion en 2003 et 2010. Son prochain livre, intituléNous

pouvons nous dépolluer, doit paraître

en septembre 2010 chez tte-Lyon.

Link to comment
Share on other sites

Join the conversation

You are posting as a guest. If you have an account, sign in now to post with your account.
Note: Your post will require moderator approval before it will be visible.

Guest
Reply to this topic...

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

Loading...
×
×
  • Create New...